Ce soir, le clown est triste. Se souvient des vieux druides:
Marx, Lévi-Strauss, Freud, Dieu, Nietzsche, Machiavel …
Race supérieure d’hommes, moitié saints, moitié génies.
Un dernier tour de piste, ballon qui brille entre ciel et terre.
Fiévreux de siroter le vin d’hydromel avec l’accordéoniste.
Miroir sur son passé: Il attend , un doigt sur la gâchette..!
Dessous son masque blanc, que viennent des éclats de rires.
Mais ne le peut plus, sourire à l’envers de par trop de misères
Se dit! L’humain moderne cache son angoisse dans le vide.
Ce soir le clown est triste,voit que tout par vrille !C’est bête.
Glisse sous son chapeau pointu quelques codes de bonne conduite.
Un dernier tour de piste, ballon qui brille et sa larme rouge colère.
Il dit ! Mon traité n’est pas de plaire: Mais de réveiller vos vies.
Y arriverais-je de mon vivant? Ne sais alors mes souvenirs je promène.
Comme quand j’étais gamin voulant à la création faire rire.
Copains d’abord suivis d’un monde tout en sommeil.
Fait de mannequins qui jamais ne pleurent ni ne rient
Se demande, s’il est seul ou les autres qui se fourmilières
Un dernier tour de piste ,ballon qui brille ,barbe-à-papa cerise.
Parti le clown! Faire un tour avec Don Quichotte en bon compairs
Soulever des pensées sans conviction. enterrées dans les insomnies.
Souvent amer au réveil .Se trouve qu’il est plus simple en ce siècle !
De construire des ponts sous la mer, que d’avoir une saine idéologie .
Un dernier tour de piste le clown est triste, il perd la tête . Oh misère !
Archimède aide le! A faire tourner les moulins à vent des humanoïdes.
Ne peuvent se mettre à genoux, manque d’élastomère, dirait Andromède;
Inutile de vous voiler la face, le temps semble s’accélérer réveiller vos vies;
Le fait est qu’il est, que vous êtes des enorgueillis, dernière vos jouets
Avec une bonne dose de lâcheté outrancière. Le clown est triste un tour de piste
Souvenir de ballons qui brillent et l’accordéoniste sourire aux lèvres.
Il dit !Mes doigts vous rejouent la même rengaine, trois fois le train siffle
Avant d’entrer en guerre !Chapeau pointu et botte qui claquèrent
Sur les zones érogènes des affaiblis. Ce soir le Clown est triste!
Voudrait rembobiner le film à l’envers mettre la paix dans le crépusculaire
Un dernier tour de piste, souvenirs d’un clown triste dans le temple fleuri.
Que le plus grand carnaval clownesque eût commencé place scandale
C’était fut un temps ou Adam et Eve eurent ce droit de forniquer
Croquassent dans la pomme , imparfaitement !Le dit le livre d’histoire,
Où vous vîntes les sorcières de Salem! Je sais je saute des pages, pardonnez.
Mais quelle importance puisque celles- ci ressemblent à aujourd’hui,
Ou tout est permis même de fusiller sur place de grève les justiciers ,
Qui eux-mêmes tour à tour deviennent on ne sait pourquoi de faux altruistes.
Condamnés à voguer dans l’errance bâillon sur la bouche et chaînes aux pieds.
Certains se demandent pourquoi ce monde convoite la folie en jamais se posant.
La question, la plus censée qu’il soit !Serions-nous prêts à vendre nos âmes derrière nos masques?
Dans ce carnaval d’humains , qui jamais ne pensent droit ?! Voulant appartenir à tout clans?
Comme des petites marionnettes dont les fils sont tirés semblerait par nous-mêmes hélas .
Parce-que l’on s’autorise toujours tout à soi-même de la plus petite luxure à la plus immonde .
Et là j’en perds les mots. Car je me dis subitement , nous ne sommes que des acrobates
Sur une corde suspendue à se dire , je saute ou ne saute pas dans mes profondeurs ?!Ou je vagabonde
Sur l’échiquier en bon valet de cour faisant courbette à Dame de trèfle et au Roi du carré d’as
L’humain humain du Carnaval clownesque qui fut un temps ou semblerait vous naquîtes
Quitte ou double vos va-tout avant de périr dans la mâchoire à broyer les cerveaux !
Parait l’on dit au journal du vingt heure que c’est déjà fait ! On y dit que vos esprits sont vides.
Mais qui donc vous a sans trop d’efforts avalé jusqu’à la moindre petite cellule? Vos libidos?
Dont la soif n ‘y est jamais assouvie?! En ce siècle en folie ne vous aidant en rien!Mais alors en rien!
Et une question je me pose . Qu’allons nous laisser derrière nous ? Qu’allons nous laisser aux enfants ?
Faut ils eux aussi les crucifier, comme Jésus sur la croix ?! S’il vous faut tout ce sang pour jouir, humains !
Vous qui êtes depuis des siècles écrasés par vos envies les plus sombres aboyant comme des charlatans
Devant la porte de ceux ou celles qui vous donnera le plus bel os à lécher , après en avoir mangé
Cette viande avariée Écoute ma chanson humain !Elle raconte celle de la Mère Michel qui a perdu
Son chat ,griffes toutes dehors et les yeux vert de gris pour en avoir avalé la florence de trop touchée.
Par le plus grand carnaval d’ humain sans foi ni loi servie bien souvent en bouquet migraine !J’en conclu.
Que je préfère vivre sur la planète des singes où moi j’y serais une espèce Mandrill et toi mon Bonobo
Sans chaussette aux pieds pour courir dans cette jungle et comme seule musique le vent frais du soir .
Te souviens-tu !Sommes promis la danse autour d’un feu de joie .Tandis qu’eux les humains contemplent le KO
Dans la brume au loin, ils ont fait brûler même l’indigo pour en vouloir être de trop des bourgeois?Oh désespoir. .
Le Roi des papillon est mort hier rue feuille morte
Comme dirait un certain. En lui renaît toute une escorte
De petits rhopalocères, ils dansent dansent dans un envol .
Rien ne pourra les arrêter ni barrière ni mur effondré à Berlin.
Celui ci fut . Est-ce un été un hiver ?! Je n’en sais rien mais alors rien!
Tout ce que sais, est qu’ils sont venus sans rien avoir besoin .
De trop juste leur aile et encore , l’un d’entre eux dit ,
Souvent lourde a porter , lorsque me voici aminci .
Par une pluie de balles arrivant de tout cotés ne sachant de qui .
Peut-être des avertis ?! Qu’en sais-je puisque le Roi est mort.
Alors que vive la danse, danse des papillons aux ailes en or.
Et enfin dire qu’ici bas, il n’ y a de place pour les maîtres à bord .
Ta musique mon amour, ô oui la tienne.
Me revient subitement en mémoire.
J’étais partie en terre sienne!
Mais dis-moi donc pourquoi toi?!
J ‘entends toujours dans mon coeur vertueux
Cette rengaine celle-là de notre enfance!
C’était gravé dans le gramophone dispendieux?!
Dis chéri pourquoi ainsi tu me hantes !
Dans ce vieux manoir qui fut nôtre
d’où j y ai laissé ?D’où je veux y revenir.
Et je voudrais que tu saches que l’ombre
Souvent, mon amour, peut ressembler à l’avenir.
Moi je suis née en Septembre fut l’automne
Toi en juillet où fleurissent les feuilles d’ été,
Et chantent les fleurs dans le trinôme,
Qui était maintenant plus aucun doute rayé;
L’histoire mon amour tu la connais est faite
De roses à peine écloses dont je suis moi,
Et lorsqu’il faudra que cette fois je te fasse fête,
Alors Milord, souvenez-vous devant vous j’étais pantoise
Je reviens de grande terre vous dire ô que j’aime
Cette musique de ce temps, ce temps-là ,
Lorsque j’étais blottie dans vos bras sans haine
Souvenez? Cela danse, danse sous le magnolia.
Ta musique mon amour, ô oui la tienne
Me revient subitement en mémoire.
J’étais partie en terre sienne!
Mais dis-moi donc pourquoi toi?!
Me revoilà. t’offrir cette musique d’antan!
Do ré mi fa sol et l’argenterie qui sonne,
Dans ce vieux gramophone chenapan,
Où l’été dictaphone dans l’électrophone.
Allez viens Milord je t’emmène prendre le vent.
Et que demain fasse que sous pluie ou soleil
Peu nous importe la vie est belle dans ce roman
Le tien, le mien, celui que nous avons écrit hier.
In this story, which creates pain, Characters are constantly changing Is there any hope for love? Remains only refrain ® Žarkov
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