Green, red or yellow
Short but angry
Life is chili peppers
Enchaînée à vos cœurs d’une chaîne ?
Pas le choix , vous êtes de ceux au sang bleu .
Vous quitter jamais ? ! Non jamais..
Même si passe part là , la justicière .
Oh mes aïeux seigneur ou même Dieu.
Vous quitter jamais ? ! Non jamais.
Que m’avez vous donc fait , pour que je reste?
Vos âmes sont de tels , de tels lieux !
Que j’y suis comme dans une chapelle .
Vous quitter jamais ? ! Non jamais.
D’ailleurs que personne n’ assiège ce milieu .
De guerre en guerre , non plus de guerre .
Je ne veux plus voir de sang sous les feux .
Il serait dommage que l’on brise cette chaîne par jeu .
Cette chaîne qui nous accouple depuis des siècles .
Vous quitter jamais ? ! Non jamais.
C’est comme une prière que je vous adresse.
Ombres chères du royaume des courageux
Vous quitter jamais ? ! Non jamais.
Elisabeth Žarkov
Oh dis de quelle couleur tu veux le mur ?
Rouge comme ma colère qui souvent dure .
Ou passionnement pourpre ?! Moi je sais plus.
Je vais finir par grogner dans mon coin,
Tu sais ? Non tu sais pas! T’as le béguin,
Pour mes taqueneries lorsque je peins,
Le mur comme un jardin,
Fleurs qui poussent le matin .
Et toi et moi main dans la main,
Et le soir oui le soir on ira , on ira
Se coucher sous le magnolia.
Fait trop chaud entre quatre murs paprika.
Tu sais toi! Que j’ai le rouge qui colère souvent .
Lorsque j’ai trop chaud ?!Tu le sais depuis le temps!
Toi celui dont je porte le nom depuis un bout maintenant !
Alors t’amuses pas avec mes nerfs! Sinon je fais brûler,
Encore le divan avec mon amour dedans.
Qui jamais ne prendra le vent.
J’acte et signe ton nom sur mes papiers
Maman déjà est au courant depuis ma dernière
Lettre à elle envoyée et par de ce fait béatifié….
Comme dernier souhait certifié..
Elisabeth Žarkov
je me balance sur une corde raide
Et un jour elle cédera je le sais
Et sans nul doute je le souhaite
Je voulais juste vivre dit-il le terrain
Un jour vous êtes arrivés stupides humains
Vous m’avez tout pris et vous osez vous plaindre!
Souvent lorsque je vous regarde face à face
J’aimerai vous enfermer dans un sarcophage
Presque 6 milliards de présumés coupables
Mais qu’est-ce donc que cet amour
Dont vous me parlez depuis ma clarté au jour
Celui pour qui, celui pourquoi le vôtre toujours !
N’ y a t’ il rien que vous ne fassiez sans faire le mal
Ô jeu d’homo sapiens ! Ô tromperie inavouable !
Mes larges cadeaux étaient pourtant à pointes égales
Semble vouliez les transformer en d’infernales prisons
Ô humain ô hommes ô femmes mais qui êtes-vous donc
Des ombres des fantômes des ondes des lumières sombres ?
Hâtez-vous cavaliers de braver la flamme fierté des cœurs
L’amertume des pleurs n’a plus aucun sens je décompte les heures
Et toi par-dessus tous, promeneur sans voie à la mortelle peur
Parfois j’adorais te briser en funeste apparence
L’obscurité s’avance elle présage elle tremblante
Le vent la pousse vers l’exil en dernière chance
Dans l’immensité qui s’agite en noirs tourbillons
Se refaire les paupières et ses lambeaux haillons
Elle décuple ses efforts sur le toit du monde
Mais en sourdine hurle je tombe dans la suffocante nuit
Et toi baroudeur des petits jours tu fugitives ta course livide
Sur le terrain houleux où tes dieux t’emportent dans le vide
Le tonnerre s’écoule, le lointain coule, humain tu m’agaces !
De ton affreux conflit entre toi et toi! Contre toi bagarre !
Eclate tous les effrois qui abîment mon Ame la teintant écarlate
Tu n’es rien sans moi je suis tout sans toi et sans tourment
Eblouissante : L’univers me fit il y a presque 6 milliards d’Ans
Jeune et belle joyeuse de flots en flots éclose fraîchement
Mais aujourd’hui qu’en est-il
Mais aujourd’hui que reste t-il
Mais aujourd’hui humain tu m’épuises
Elisabeth Žarkov (Vaury)