Caught in the net
extinguishes your breath
your face is
trail of network in stone
Caught in the net
extinguishes your breath
your face is
trail of network in stone
Fortune in cities generate many interconnections that are short in duration but always can be renewed.
Et tous ces moutons au bord du vide,
Hybrides aux cerveaux d’un clonage pathétique!
Gouvernés par les laboratoires médicaux légistes.
Ou nous en sommes à essayer de jouer à saute-mouton.
Dans ce monde qui semblerait nous guider aux bâtons.
Par quelques têtes d’as de pique au gouvernail ? Des caméléons .
Cela sent comme une odeur d’éther dans ce cimetière d’hybrides.
Lorsque nous regardons l’avenir , on essaye d’y mettre un cachet de cire.
Masques en détresse dans les catacombes des inaccomplis, indéfinis.
Ou la clonée numéro mille cent quatre dix s’est prise pour le fantôme
De Marilyn Morone en rouge et noir. Attention c’est Halloween les mômes
Sortez vos casques ça crame les neurones de refuser d’être comme tout le monde .
Plus grand chose à dire les clones ! Idées alignées à l’identique.
Pas facile d’apprendre à vivre dans le royaume des victimes hystériques.
Sautant de moutons en moutons clonés dans un verre d’ antiseptique.
Refusant toute contagions en vidant les poubelles du diable descendu sur terre
C’était un matin ivre et gorgé de sang! Elle était la bête à sept têtes !
Pris de multiple formes, mais n’en laissa qu’une aux êtres: L’uniforme des muets .
Elisabeth Žarkov
I have run out of words to tell you I love you Earth
I went to the sky to find the feather of hell
Will I survive the Stone Age Fire?
If I manage to save a few species
I do not want to draw any glory from it
Nor money, nor a decoration and Justice be
See, Lord, how I lose my head over this
Lord from where? What do I know, me the rebel
Who comes from brotherly flames, I am so
At the source I take the words so understood they will be
A long time ago a world was only asking to live
After six thousand years here and there towns went to sleep
By I do not know what maybe ignorance
Where fire was burnt by intolerance
There is there distrust in alternation
While there is no more water in the fields
And the light of heaven is refusing her perceptivity
She gave so much and so much kindness
After so many wars under breezes devoid of meaning
Go say to the dictators that she is coming back from ancient times
The Earth who abounds in loving flowers
Mighty people hear these thousand words from the white dove
Her feathers are turned lovely by them they announce spring
Hello centuries back from wars sailing before the wind
They are slowly drained
Children coming from past times refuse to destroy the Earth
From those fires in which heather over one’s shoulder is dying
See Princes, Tyrants how the sky angers
In your letters made of nuclear alchemies
It’s the same old story welded to our miseries
We forget Fire Sky and Earth
I have run out of words to tell you I love you Earth
I went to the sky to find the feather of hell
Will I survive Stone Age Fire?
See my back broken by all this hell on earth
Exploring osmosis in Universe
I come back from Large Land rewinding the rout backwards
And I spend full nights to save the nightingale singing
Slowly announcing winds of change
By these nonsense where Time, partisan, elegantly discourses
Not to offend the Wind with all of these empty noises, only too often
A war has started there “oh it’s so far” says the guardian stallion
Go Mighty people and tell the flamboyant fires that Earth intolerates
Under the Earth who slowly gets exhausted under ivy
After so many wars rancid cavalier years
Go tell the Sky that I will go and pray on the ephemeral Fire
So that it becomes only a wavering Earth
Where water drop by drop is streaming
The Earth, Noble Lady with the saffron ribbon
Sur cette route hystérique de la vie tout va trop vite
et moi, je roule à une allure vers un point non défini.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Au poste de radio une histoire d’amour à la chaîne rengaine.
Je passe la quatrième vitesse, je dois avoir la fièvre.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Soudain mes pieds ne sont plus synchros.
J’écrase la pédale de l’ accélérateurs à fond.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Je me crois la plus forte , alors je refuse de regarder l’évidence.
A rouler si vite, on vit avec des sentiments tordus en alternance.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Une voix arrive à mon oreille, bonne conseillère elle me dit :
Les cracheurs d’étoiles filantes t’offrent leurs flammes énigmatiques.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Je prends deux ou trois temps de poses pour mieux envisager mon futur,
Cet urgent atmosphère devient lourde sous mes lunes.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Perdu de la sagesse ,je me suis fusillée le cerveau avec tous ces malfrats.
C’est au coin de nul part que j’ai croisé l’infini, c’est un mirage.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Soudain je vois ! un mur d’un coup surgit devant tous mes futurs compromettants,
J’essaie de le franchir pour contempler le jour naissant.
Jusque là tout va bien jusque là tout va bien.
Mais j’ai nullifié l’espoir de signer le bon contrat.
J’ai jamais bien aimé les veilles décades infâmes.
Jusque là jusque là jusque là : rien ne va plus.
Je prends rendez- vous avec le Diable,
Déjà j’ai sorti mon casque et mon lance-flamme.
Jusque là j ai froid à l Ame .En Fer devenue conviendra
Des lors je cherche l ombre celle-là meme
Vois tu toi qui te balade ailes en ailes
Une main sur le coeur et l autre ? Qui puis-je et qu en sais-je
Elisabeth Žarkov