In a stormy night
In front of the house where nobody lives
Dying every soul who wanders
In a stormy night
In front of the house where nobody lives
Dying every soul who wanders
The exterior and the interior found their harmony
The bitter taste of cocoons hiding the seeds of satisfaction
®. Žarkov
Lorsque pour la première fois
J’ai vu ton sourire , offert à moi,
Alors ce jour là , je suis restée
Sans voix et un peu hébétée.
Je ne savais que te dire,
Mais je savais quoi t’offrir!
Quoi t’offrir ! C’est mon amour.
L’amour d’une femme qui t’aime pour toujours.
Je vais y mettre toutes mes forces
et toi faire de moi ton trésor…?
Je ne dis pas non, oh non: oh non !
Acceptant toutes tes conditions
Parce-qu’en réalité toi seul connais.
Toi seul savais que j’étais fatiguée.
D’une vie passée à sauver des drapeaux
En avais-je ce droit d’ailleurs! Non non !
Chaque pays portant leur fardeaux
Ne pas m’en mêler sinon je tombe à l’eau;
Que je suis pas jolie, lorsque de tout
Je veux déverrouiller les écrous
D’un monde qui semblerait, qui lui
ne veut changer !.. C’est tant pis!
Nous toi et moi on part sur un bateau
Y entendre la mer, écoutes! ô comme c’est beau.
Et puis voilà que lorsque sur ta terre promise
Sur ta terre lorsque je me suis surprise
ô oui a m’épanouir.
Alors dis chéri, aujourd’hui
à toi je dis oui..!
Viens mon amour !On prend ce navire
y voir l’ivresse de notre avenir.
Il s’ouvre, oui! S’ouvre à nous deux,
J’en fais le voeu devant Dieu.
Tu dis pareil ? Oh voici l’aveu .
Elisabeth Žarkov
j’ai franchi la tour de Babel ..!
pour te dire je t’aime, t’aimerais,
Cette force qui nous enchaîne ,
N’a pas ô pas d’égale semblerait ..!
Souvent elle se brise quand les du nord vents,
S’en mêlent, mais le soleil est là pour nous éclairer.
Et qu’ainsi quatre saisons nous ouvrent l’entendement
Celui ou toi et moi devons comprendre et rayonner .
Qu’aux travers des siècles ! Nous étions faits
Même lorsque la tornade vient tout balayer
Tout emporter dans le ciel , notre amour lui-même,
Celui-ci remet le tout à nu sur terre pour nous lier.
Jusqu’à notre dernier souffle et si tu ne peux;
M’empêcher d’écrire pour d’autres . Tu ne peux m’empêcher
De t’aimer ! Tu veux que je porte ton nom aussi je le veux.
Toi tu es né Zarkov moi Vaury et en un éclair , le sablier,
Du temps celui d’hier et d’aujourd’hui en efface un
Sur papier tout petit papier pour les miens y assigner
Le tien en bas de toutes pages et pour un lointain ,
Qui lui seul nous appartient , abdiquer? Moi savoir faire.
Et si j’ai l’arme de l’encre tombante sur feuille féroce !
Je n’ai qu’un coeur celui-là qui d’ailleurs ne bat que pour toi
Lorsque le jour vient et que la nuit de même se palette d’or
Un beau soir hiver toi et moi sommes dit je t’aime à vie à mort sera .
J’ai peut-être une chose à te dire dans cette lettre ouverte
Moi j’ai les mots juste à toi dans faire pareil
Pour qu’il n y ai plus d’impair, impersonnel
Parce-qu’en réalité il n ‘y a que la vérité qui presse
Celle qui dit à la face d’un monde là et ici enfin partout
Où terre torrentielle il y a deux êtres qui s’aiment
Alors soyons clairs et à toi d’ouvrir cette lettre à tous
Et lorsque je dis tous! Je m’explique! Je veux dire ceux et celles
Tu dis être un homme sois-en un , pour moi tu l’es
Je dis être une femme et le prouve pour toi âme fière
De le dire ce mot magique je t’aime et t’aimerai
A prendre ou à laisser tout ces mots moi la peur n’est pas mon alliée.
Elisabeth Žarkov
I have run out of words to tell you I love you Earth
I went to the sky to find the feather of hell
Will I survive the Stone Age Fire?
If I manage to save a few species
I do not want to draw any glory from it
Nor money, nor a decoration and Justice be
See, Lord, how I lose my head over this
Lord from where? What do I know, me the rebel
Who comes from brotherly flames, I am so
At the source I take the words so understood they will be
A long time ago a world was only asking to live
After six thousand years here and there towns went to sleep
By I do not know what maybe ignorance
Where fire was burnt by intolerance
There is there distrust in alternation
While there is no more water in the fields
And the light of heaven is refusing her perceptivity
She gave so much and so much kindness
After so many wars under breezes devoid of meaning
Go say to the dictators that she is coming back from ancient times
The Earth who abounds in loving flowers
Mighty people hear these thousand words from the white dove
Her feathers are turned lovely by them they announce spring
Hello centuries back from wars sailing before the wind
They are slowly drained
Children coming from past times refuse to destroy the Earth
From those fires in which heather over one’s shoulder is dying
See Princes, Tyrants how the sky angers
In your letters made of nuclear alchemies
It’s the same old story welded to our miseries
We forget Fire Sky and Earth
I have run out of words to tell you I love you Earth
I went to the sky to find the feather of hell
Will I survive Stone Age Fire?
See my back broken by all this hell on earth
Exploring osmosis in Universe
I come back from Large Land rewinding the rout backwards
And I spend full nights to save the nightingale singing
Slowly announcing winds of change
By these nonsense where Time, partisan, elegantly discourses
Not to offend the Wind with all of these empty noises, only too often
A war has started there “oh it’s so far” says the guardian stallion
Go Mighty people and tell the flamboyant fires that Earth intolerates
Under the Earth who slowly gets exhausted under ivy
After so many wars rancid cavalier years
Go tell the Sky that I will go and pray on the ephemeral Fire
So that it becomes only a wavering Earth
Where water drop by drop is streaming
The Earth, Noble Lady with the saffron ribbon
Ecoutez ma rengaine Ames chères
Elle part vers un Astre lumière
Nous on a pris place au Père La Chaise
Notre tombeau est de belles pierres.
Si nous survivons aux lierres qui nous recouvrent
Nos cendres émergeront de la boue
Comme pour dire habille-toi de ma mousse
Garde à vous chères âmes dans le tout-à-l’égout
Si tu creuses bien la fenêtre d’un monde
il se verra naître sans mauvaises ondes
Et tombe sur notre tombeau l’arrière-saison
où Napoléon y fut un caméléon à l’Odéon
Maintenant qu’on n’a plus de maison on prend
La parole dans l’univers s’abritant
Là dans des murs et sans amendement
Ne voulez-vous pas à la vérité préférer le hasard!?
Chargés de lourds secrets où ce monde part à l’eau
Il observe nos vies passant en juge nos fautes
Il nous donne rendez-vous vers un monde brio!
Nous, on va creuser, se nicher dans un trou en duo
ô comme, comme c’est beau la terre au bout du pont!
Par nos regards, pour d’autres regards! CIAO le monde!
Nous on monte l’escalier, celui où l’on croise plus de songes
On prend notre pelle et terreau et nos âmes on ombre
Ecoutez ma rengaine, âmes chères
Elle part vers un Astre lumière
On prend place au Père La Chaise
Notre tombeau est de belles pierres.
Elisabeth Žarkov (Vaury)