Everything is subject to changes and distorts! In The transformation is involved male figure in the role of a ballerina painting background in dissonant interval!
J’étais jadis seule égarée dans le temps.
A regarder les heures passantes.
Je voyais le temps,
Comme un défilé de moments
Souvent sans rien dedans.
Ô dites moi vous les aimables gens.
Quant enfin va venir le printemps?!
Jour après jours, je supplie le temps,
De m’offrir des fleurs aimantes.
Qui est ce temps?! Ce temps?!
C’est toi ce temps ?
Alors si oui !Finissons ensemble….
Tu sais! Toi que je serai câline et mordante.
Sous nos draps blancs.
Deviendront rouge sang……
Le temps, le temps diront longtemps!
Si tu y mets le bon piment.
Femme je sais qui tu es! Pour te comprendre?!
J’y ai mis tout mon temps!
Je ne suis pas l’un de tes courtisans!
Qui te survolent que de temps en temps.
Lorsque je dis que je t’aime! Je ne mens!
Non! Moi qui suis devenu ton temps.
Passé futur et présent…
Et pour toi pour longtemps
Ma femme aimante…
Žarkov Elisabeth
Le tonnerre grondait au dessus de nos têtes
C’était même pas l’hiver. L’herbe était verte.
Mais écrasée par cette pluie battante, manquait d’aire.
Cette herbe trop frêle pour ces années lumières.
La teintant jaune misère comme le blé colère
Lorsque le brûle de trop le soleil, venu du ciel.
Retombent ses rayons sur terre dès lors en jachère .
Devenue inhospitalière est et sera pour nos têtes
Et puis mais égale! Moi je pars avec Martin Guerre.
Retrouver la mémoire d’un temps passé l’héritière.
De nos souvenirs subtilement éphémères.
Dans cette atmosphère étrange et légère.
Elisabeth Žarkov
Dans la phosphorescence des rayons bleutés, la cité commence à espérer,
Nos visions fébriles s’acharnent à ne pas monter dans le dernier taxiway,
Coincés là comme des bêtes apeurées dans les parkings souterrains
A regarder passer nos ombres. Je crois bien qu’il nous faut être plus aériens,
Mais qui ne l’entendent pas cette vérité qui nous ronge mots à maux
Ou maux pour mots. Quelque part ailleurs l’atmosphère est au contrôle,
Voyageuse solitaire, elle cherche une raison d’ensoleiller nos sentiments,
On peut donc affirmer que dernier tous nos doutes de grands enfants .
Il y a un demain ivre de mystère à découvrir comme la première rose de l’été;
Qui s’ouvre à nos yeux lentement mais sûrement, nous l’avons tellement espéré !
Dans nos tensions qui emportent nos vies sur d’abjectes incertitudes ridicules,
Mais nous en sommes tous là essayant de comprendre ces
silences qui se cumulent ;
On fuit le futur à toujours vouloir squatter le passé au présent souvent amer ?
Disent nos mémoires qui ne retiennent que les déjections outrancières !
Et lorsqu’il n’y a plus de point de retour reviennent les joies monotones
Sans Âmes et sans vies, cruelles ombres affolées pour oublier que nous sommes;
Presque six milliards de présumés coupables se laissant aller à regarder les étoiles
Pas souvent lumineuses tellement elles ont été assombries par je ne sais quoi,
Peut-être la honteuse malédiction qui trône sur nos cœurs depuis quelques temps sans ses vrais battements;
Qui nous donneraient cette expression d’être enfin vivants dans un dernier élan.
On a occupé le ciel pour nous rendre plus heureux, le sommes-nous vraiment, qui faisons nous?
S’envoyer des roses, des mots doux, des douceurs sous les rayons pâles et ternes mais après coup ?
Que devient le rêveur quand la rêverie est finie, quand la magie devient morne et glaciale ?
Peut-être qu’après tout nous sommes tous que de grands destructeurs de l’astre Astral,
Celui qui nous permettrait de voir plus loin que le bout de notre nez, d’envisager un demain
Où tous ces bouts d’icônes serviraient des causes, où l’on échangerait des idées d’humains !
On à juste évité de s’occuper des choses importantes comme d’écouter ceux qui crient ;
Dehors dans ce véritable monde , mains tendues réclamant peut-être un opéra de vrais sourires,
Une voix qui rassure et qui réchauffe l’âme qui leur servirait escorte pour la mémoire
Au lieu de cela nous regardons passer le temps en souriant en société internalisée et c’est assez pourquoi ?
Aurions-nous perdu tous nos sens, même celui de ressentir comme cela juste pour rien ?
Pour nous tenir debout lorsque l’on se visionne dans nos miroirs essayant de penser que nous sommes des gens bien !
Mais il me semble qu’il faut aller les chercher de plus en plus loin ces pensées d’émotions non déguisées De faux tout jusqu’à en oublier nos noms, les enterrant dans la fausseté commune ridiculisée, et c’est assez ?
Elisabeth Žarkov
Lorsque pour la première fois
J’ai vu ton sourire , offert à moi,
Alors ce jour là , je suis restée
Sans voix et un peu hébétée.
Je ne savais que te dire,
Mais je savais quoi t’offrir!
Quoi t’offrir ! C’est mon amour.
L’amour d’une femme qui t’aime pour toujours.
Je vais y mettre toutes mes forces
et toi faire de moi ton trésor…?
Je ne dis pas non, oh non: oh non !
Acceptant toutes tes conditions
Parce-qu’en réalité toi seul connais.
Toi seul savais que j’étais fatiguée.
D’une vie passée à sauver des drapeaux
En avais-je ce droit d’ailleurs! Non non !
Chaque pays portant leur fardeaux
Ne pas m’en mêler sinon je tombe à l’eau;
Que je suis pas jolie, lorsque de tout
Je veux déverrouiller les écrous
D’un monde qui semblerait, qui lui
ne veut changer !.. C’est tant pis!
Nous toi et moi on part sur un bateau
Y entendre la mer, écoutes! ô comme c’est beau.
Et puis voilà que lorsque sur ta terre promise
Sur ta terre lorsque je me suis surprise
ô oui a m’épanouir.
Alors dis chéri, aujourd’hui
à toi je dis oui..!
Viens mon amour !On prend ce navire
y voir l’ivresse de notre avenir.
Il s’ouvre, oui! S’ouvre à nous deux,
J’en fais le voeu devant Dieu.
Tu dis pareil ? Oh voici l’aveu .
Elisabeth Žarkov
I have run out of words to tell you I love you Earth
I went to the sky to find the feather of hell
Will I survive the Stone Age Fire?
If I manage to save a few species
I do not want to draw any glory from it
Nor money, nor a decoration and Justice be
See, Lord, how I lose my head over this
Lord from where? What do I know, me the rebel
Who comes from brotherly flames, I am so
At the source I take the words so understood they will be
A long time ago a world was only asking to live
After six thousand years here and there towns went to sleep
By I do not know what maybe ignorance
Where fire was burnt by intolerance
There is there distrust in alternation
While there is no more water in the fields
And the light of heaven is refusing her perceptivity
She gave so much and so much kindness
After so many wars under breezes devoid of meaning
Go say to the dictators that she is coming back from ancient times
The Earth who abounds in loving flowers
Mighty people hear these thousand words from the white dove
Her feathers are turned lovely by them they announce spring
Hello centuries back from wars sailing before the wind
They are slowly drained
Children coming from past times refuse to destroy the Earth
From those fires in which heather over one’s shoulder is dying
See Princes, Tyrants how the sky angers
In your letters made of nuclear alchemies
It’s the same old story welded to our miseries
We forget Fire Sky and Earth
I have run out of words to tell you I love you Earth
I went to the sky to find the feather of hell
Will I survive Stone Age Fire?
See my back broken by all this hell on earth
Exploring osmosis in Universe
I come back from Large Land rewinding the rout backwards
And I spend full nights to save the nightingale singing
Slowly announcing winds of change
By these nonsense where Time, partisan, elegantly discourses
Not to offend the Wind with all of these empty noises, only too often
A war has started there “oh it’s so far” says the guardian stallion
Go Mighty people and tell the flamboyant fires that Earth intolerates
Under the Earth who slowly gets exhausted under ivy
After so many wars rancid cavalier years
Go tell the Sky that I will go and pray on the ephemeral Fire
So that it becomes only a wavering Earth
Where water drop by drop is streaming
The Earth, Noble Lady with the saffron ribbon